
« Ce sont les conséquences de l’abandon de l’élevage chez nous et ça ne fera qu’empirer. Un, deux ou cinq éleveurs ne peuvent pas alimenter une population de 200 000 habitants. C’est impossible. La demande est nettement supérieure à l’offre, donc la hausse va continuer et on risque de se retrouver à 200 000 GNF d’ici la fin de la journée », alerte Mamadou Kantè, vétérinaire.