Contrairement à ce qu’il a affirmé à Guinéenews, le président de la commission électorale nationale indépendante (CENI) avait bien saisi la Cour Constitutionnelle en vue d’avoir l’autorisation de proposer une nouvelle date pour les élections. C’est un arrêt rendu le 10 mars dernier par ladite Cour qui l’atteste pendant que Me Salif Kébé nous démentissait l’information dans la soirée du mardi. Dans son arrêt, l’Institution juge la requête « mal fondée » et précise que la prérogative de proposition de date appartient à l’institution qu’est la CENI à travers sa plénière et non à la personne de M. Salif Kébé en tant que président.
Lire ci-dessous la grosse du jugement de la Cour :