«Tant que je serais à la tête de ce département, je ferais en sorte que toutes les institutions, y compris l’ISIC, soient dotées d’un minimum de moyens qui permettront de donner une formation de qualité aux étudiants.
Parce que l’image que le pays va projeter à l’extérieur , l’image que les dirigeants vont donner aux gouvernés, la paix civile , la cohésion sociale… tout ceci dépendra du professionnalisme observé par les hommes de médias tels que vous, dans le traitement des informations diffusees. Vu qu’on ne peut parler de paix, de cohésion sociale que L’orque les journalistes diffusent des informations de la meilleure des manières, donc une bonne formation est à la base de tout cela. Je promets de faire en sorte que les écoles de journalisme se qualifient en un enseignement de qualité d’éthique et de morale qui leur mettra à l’abri de toutes les failles… Je tiens à préciser que ceci n’est pas une promesse en l’air comme le croient beaucoup de personnes ici présentes. Ces promesses seront tenues. L’orque je m’engage, c’est jusqu’au bout. Parce qu’il ne sert à rien de s’engager de travailler du matin au soir, si tout ceci ne se termine pas par des résultats concrets. C’est cela ma philosophie »
Dans le cadre de sa prise de contact avec certaines institutions d’enseignement supérieur du pays, le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, était ce vendredi 11 juin, l’hôte des autorités et étudiants de l’Institut Supérieur de l’Information et de la Communication (ISIC), sis à Kountia, dans la préfecture de Coyah, a-t-on sur place Guinéenews.
Dès son arrivée, le ministre Aboubacar Sylla a entrepris, en compagnie de la Directrice générale de l’ISIC et ses collaborateurs, la visite des différents bâtiments abritant les salles de classe. Egalement cette visite a été mise à profit par les responsables de l’ISIC pour présenter à leur ministre de tutelle les studios de la radio ‘’Campus Fm’’ qui émettra ses premiers signaux sous peu.
En foulant les locaux de ces studios du ‘’Campus FM’’, Aboubacar Sylla ne pouvait pas ne pas se replonger dans certains de ses souvenirs en que ministre par deux fois de la communication sous le règne de feu général Lanasana Conté.
« J’ai eu à fréquenter plein de radios. D’ailleurs, j’ai eu à créer et gérer des radios qui sont encore actives », a brièvement souligné le Chef du département de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
Concernant le lancement prochain de la radio ‘’Campus FM’’, le ministre Sylla a plutôt trouvé l’initiative ‘’originale’’.
C’est d’ailleurs une grande première, a-t-il remarqué tout en félicitant tous ceux qui ont porté cette initiative et tous ceux qui ont contribué à sa mise en œuvre.
Parce que, estime le ministre Aboubacar Sylla, ‘’c’est une très bonne chose que les étudiants puissent avoir une radio dédiée à leurs activités de manière à ce que cette radio thématique spécialisée apporte un plus à l’enseignement supérieur et à la recherche scientifique dans le pays. »
Le ministre de l’Enseignement Supérieur a également précisé le fait que depuis quelques années, les centres de recherche et les institutions d’enseignement supérieur ont acquis une certaine autonomie financière et budgétaire. Une politique qui leur permet, a-t-il expliqué, de disposer trimestriellement des subventions de l’Etat qui sont consacrées aux investissements dans les institutions.
Devant tous ces enjeux, Aboubacar Sylla a souhaité avoir des rencontres plus approfondies avec la Direction générale de l’ISIC à l’effet de lui permettre de satisfaire ses besoins fondamentaux.
Avant de boucler sa visite à l’ISIC, le ministre a animé à l’amphithéâtre une conférence au cours de laquelle il a décliné les projets que son département a pour une meilleure qualification de l’enseignement et la réalisation des conditions plus décentes de travail à l’ISIC.
« Le ministère pour lequel je m’exprime aujourd’hui ici, prendra toutes les dispositions pour accompagner l’ISIC dans la mise en œuvre de ses doléances et que les conditions de vie soient nettement améliorées. Je tiens à préciser que ceci n’est pas une promesse en l’air comme le croient beaucoup de personnes, ici présentes. Ces promesses seront tenues. L’orque je m’engage, c’est jusqu’au bout. Parce qu’il ne sert à rien de s’engager de travailler du matin au soir, si tout ceci ne se termine pas par des résultats concrets. C’est cela ma philosophie.
Donc, tant que je serais à la tête de ce département, je ferais en sorte que toutes les institutions, y compris l’ISIC, soient dotées d’un minimum de moyens qui permettront de donner une formation de qualité aux étudiants.
Parce que l’image que le pays va projeter à l’extérieur, l’image que les dirigeants vont donner aux gouvernés, la paix civile , la cohésion sociale… tout ceci dépendra de la façon du professionnalisme observé par les hommes de médias tels que vous, dans le traitement des informations diffusées. Vu qu’on ne peut parler de paix, de cohésion sociale que L’orque les journalistes diffusent des informations de la meilleure des manières, donc une bonne formation est à la base de tout cela. Je promets de faire en sorte que les écoles de journalisme se qualifient en un enseignement de qualité, d’éthique et de morale qui leur mettra d’être à l’abri de toutes les failles’’, s’est engagé le patron de l’Enseignement Supérieur guinéen.
Toute heureuse de cette visite de son ministre de tutelle, la DG de l’ISIC, Djénabou Barry, a, pour sa part, fait un plaidoyer en faveur d’une amélioration des conditions d’enseignement des étudiants. Ce qui passe forcément, selon elle, par le renouvellement du parc informatique et infographique qui est très vétuste. Car, rappelle-t-elle, ces équipements déjà en place sont acquis depuis 2006.
Un compte rendu de Manianfing Doré, stagiaire à Guinéenews