
Les deux étaient poursuivis pour « infraction, diffusion, et mise à disposition d’autrui des données de nature à troubler l’ordre public ». Une décision du chef de l’Exécutif qui intervient moins d’une semaine après la grâce présidentielle accordée en début du week-end dernier à Mamady Condé, alias Madic 100 frontières et Boubacar Diallo, dit Grenade.
Correspondant à Conakry, Guinée