Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) a trimbalé devant la Cour de Justice de la CEDEAO, la Guinée, la Commission de la CEDEAO et les autres Etats membres de ladite organisation pour «manquements à leurs obligations de protection des droits de l’homme, de l’État de droit, de la démocratie et de l’ordre constitutionnel. »
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Ce procès a été ouvert jeudi 12 mars à Abuja, au siège de la Cour de Justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en présence de nombreux leaders du FNDC dont son coordinateur Abdourahmane Sano, Cellou Dalein Diallo, Faya Millimouno, Ousmane Kaba.
« Les requérants avaient demandé et obtenu que ce recours fasse l’objet d’une procédure accélérée afin de permettre la prise de mesures provisoires compte tenu de l’urgence qui s’attache au dossier. Après avoir entendu les parties, la Cour a décidé de renvoyer sa décision au 19 mars 2020 en raison, selon elle, de la complexité du dossier », a fait savoir le FNDC dans un communiqué rendu public ce 13 mars 2020.