
Dans le communiqué signé à cet effet, la mission conjointe indique qu’elle « reste préoccupée par l’absence d’un chronogramme acceptable pour le retour à l’ordre constitutionnel, six mois après le coup d’Etat militaire du 5 septembre 2021. » Tout en notant « le non respect du délai de 6 mois indiqué par la conférence des chefs d’Etat et de Gouvernements de la CEDEAO lors de la réunion du 16 septembre 2021 à Accra… »

