Dans l’après-midi du dimanche 30 Octobre, une femme a été attaquée et blessée par un groupe de chimpanzés, alors qu’elle partait puiser de l’eau dans son champ, dans la commune rurale de Bossou, dans la préfecture de Lola, a-t-on appris sur place.
Joint au téléphone par notre reporter, le directeur de l’Institut environnemental de Bossou, M. Paul Lamah a confirmé cette information.
« ce dimanche une femme est partie dans son champ sur le flanc du mont Gban, l’une des quatre collines de Bossou, qualifiée de nid des chimpanzés. Des chimpanzés ont se sont alors attaqués la femme qui partait puiser de l’eau. C’est un monsieur et sa femme qui ont fait un champ sur le flanc de mont Gban à Bossou. Souvent, il chasse les chimpanzés en prenant des cailloux pour les jeter contre les chimpanzés, arguant qu’il se trouve dans un domaine familial », explique notre interlocuteur.
« ce dimanche une femme est partie dans son champ sur le flanc du mont Gban, l’une des quatre collines de Bossou, qualifiée de nid des chimpanzés. Des chimpanzés ont se sont alors attaqués la femme qui partait puiser de l’eau. C’est un monsieur et sa femme qui ont fait un champ sur le flanc de mont Gban à Bossou. Souvent, il chasse les chimpanzés en prenant des cailloux pour les jeter contre les chimpanzés, arguant qu’il se trouve dans un domaine familial », explique notre interlocuteur.
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Le nommé Soua a été semble-t-il convoqué à la gendarmerie de Lola à deux reprises, pour l’exhorter à quitter cette zone habitée par les chimpanzés.
« Les sages de Bossou sont intervenus, mais il n’a pas quitté la partie. Malgré tout ce que nous faisons, il refuse de partir, en affirmant que c’est un domaine familial. Il est bien reconnu qu’il chasse les chimpanzés avec des cailloux. Aujourd’hui, j’ai été informé que sa femme serait attaquée par les chimpanzés, alors qu’elle partait puiser de l’eau dans leur champ. Les chimpanzés auraient monté une embuscade contre la femme de Soua, en la blessant. Elle a été mordue au niveau de la tête et du dos. Lorsqu’elle a été blessée, c’est elle-même qui est venue jusqu’au village, rendre compte de l’incident », indique le directeur de l’Institut environnemental de Bossou.
Qui dit avoir payé les frais médicaux qui s’élevaient à plus de 300 mille francs guinéens.
Aux dernières nouvelles, sa vie serait hors de danger. Il faut rappeler que les chimpanzés de Bossou sont classés patrimoine mondial de l’unesco.