Les monts Nimba est le seul patrimoine naturel mondial dont la Guinée dispose pour le moment et qui bénéficie de l’attention des organisations internationales, comme l’UNESCO, l’UICN entre autres pour la protection des biens du patrimoine. Aujourd’hui, sept sociétés minières disposent de permis de concessions minières, qui entraîneraient un désaccord entre la Guinée et l’Organisation des Nations unies pour la science et la culture (UNESCO), qui demande seulement une seule société au niveau des monts Nimba.
Pour exploiter ce minerai de fer situé dans le sud-est de la Guinée, l’UNESCO et l’UICN demandent une étude d’évaluation environnementale stratégique.
Le commandant Justin Bilivogui, Directeur Général du Centre de Gestion de l’Environnements des monts Nimba et Simandou (CEGENS) lève l’équivoque: « là où nous sommes. Il y a des gens qui disent que c’est à cause de nous que la société des mines de fer de Guinée est en train de partir. C’est seulement la société des mines de fer de Guinée Smfg qui a des documents. Elle est à jour, et West Africa est en train d’avancer à son tour. Ce qui pose un problème de concurrence, car l’UNESCO ne demande qu’une seule société pour exploiter les monts Nimba. La Guinée a des problèmes aux Monts Nimba. Vu que l’UNESCO veut préserver le site du Patrimoine Mondial et la Guinée veut quant à elle lutter contre la pauvreté. Parce qu’il y a des minerais là-bas qui doivent être exploités par des sociétés minières. L’UNESCO a une représentation en Guinée qui travaille avec l’UICN ainsi que ma structure, je rends compte à ses représentants et l’Etat guinéen », précise le commandant Justin Bilivogui.
Le commandant Justin Bilivogui, Directeur Général du Centre de Gestion de l’Environnements des monts Nimba et Simandou (CEGENS) lève l’équivoque: « là où nous sommes. Il y a des gens qui disent que c’est à cause de nous que la société des mines de fer de Guinée est en train de partir. C’est seulement la société des mines de fer de Guinée Smfg qui a des documents. Elle est à jour, et West Africa est en train d’avancer à son tour. Ce qui pose un problème de concurrence, car l’UNESCO ne demande qu’une seule société pour exploiter les monts Nimba. La Guinée a des problèmes aux Monts Nimba. Vu que l’UNESCO veut préserver le site du Patrimoine Mondial et la Guinée veut quant à elle lutter contre la pauvreté. Parce qu’il y a des minerais là-bas qui doivent être exploités par des sociétés minières. L’UNESCO a une représentation en Guinée qui travaille avec l’UICN ainsi que ma structure, je rends compte à ses représentants et l’Etat guinéen », précise le commandant Justin Bilivogui.
Parlant des conditions exigées pour exploiter cette mine de fer, le commandant Justin Bilivogui affirme que » la première condition est de faire une étude d’évaluation environnementale stratégique. Ils ont donné 9 critères à l’État parti guinéen et à la société minière. Si ces critères sont respectés, on peut laisser la Guinée exploiter le gisement de fer au mont Nimba ».
Quant aux menaces sur l’environnement des monts Nimba, le commandant Justin Bilivogui dit qu’elles ont beaucoup diminué. « Visiblement par rapport au temps passé. L’on pouvait compter plus de 1000 véhicules en activité aux monts Nimba. Lors de notre dernière réunion au Congo et au Sénégal, j’ai dit que Nimba est paisible. Il n’y a plus de menaces, c’est ainsi que nous avons sollicité de nous enlever sur la liste des sites de patrimoine en péril. Car cela fait perdre à la Guinée, des milliards de capitaux. Depuis 1944, la Guinée a donné l’autorisation d’exploiter le minerai des monts Nimba. C’est pourquoi une société est venue s’installer près du patrimoine mondial. Cette société s’appelle Société des mines de fer de Guinée (Smfg).
La smfg a fait beaucoup, c’est d’abord un projet pic, projet d’investissement d’intérêt national. Qui doit réduire la pauvreté en Guinée, ça veut dire qu’ils vont réduire la pauvreté en Guinée.
Ce projet d’intérêt national et international est très stratégique pour le développement de la nation guinéenne », a-t-il indiqué.
Parlant de la situation actuelle de la société des mines de fer de Guinée Smfg, il affirme que c’est seule les sociétés devant exploiter le mont Simandou qui ont pris la garantie de réaliser le transguinéen, jusqu’à la mer en basse guinée. La Smfg n’a pu s’engager et va faire elle une voie routière de 25 kilomètres, jusqu’à Yéképa où est basée la Lamco au Liberia.