L’accès à l’eau potable, cette ressource vitale, reste encore difficile en Guinée. Kankan deuxième ville du pays, est en manque criard de cette denrée de première nécessité depuis des mois.
En cause, le manque de carburant pour les groupes électrogènes de la Société des Eaux de Guinée (SEG) locale, apprend-t-on. Ce qui du reste semble assez paradoxal dans une ville censée être le bastion du parti au pouvoir.
Plus intriguant en outre, c’est le moment choisi par la SEG (societe d’eau de Guinée) pour plonger de nouveau la population de Nabaya dans cette situation de détresse. Ce, au lendemain du fameux ‘’coup fatal’’ qui a vu le président s’octroyer un troisième mandat.
Conséquence, les populations du gbekan djamana voient en rajouter à leurs souffrances, cette difficulté d’accès à l’eau potable avec à la clé, des femmes qui passent tous leurs temps à se déployer corps et âmes pour se procurer de ce précieux sésame au niveau de quelques rares points d’eau à travers la ville.
Même s’il n’y a aucune communication officielle autour, des indiscrétions expliquent cette situation par un manque d’argent dans les caisses de l’Etat.
Pendant ce temps, de hauts dignitaires du régime continuent à se taper de gigantesques villas au vu et sus de tous.
Il n’y a pas de carburant pour faire tourner les groupes de la SEG nous dit-on, mais de hauts dignitaires célèbrent à coût de milliards de francs guinéens des mariages et anniversaire de leurs enfants comme s’ils sont les plus bénis du pays.
L’accès à l’eau potable, cette ressource vitale, reste encore difficile en Guinée. Kankan deuxième ville du pays, est en manque criard de cette denrée de première nécessité depuis des mois.
En cause, le manque de carburant pour les groupes électrogènes de la Société des Eaux de Guinée (SEG) locale apprend-t-on. Ce qui du reste semble assez paradoxale dans une ville censée être le bastion du parti au pouvoir.
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Plus intriguant en outre, c’est le moment choisi par la SEG pour plonger de nouveau la population de Nabaya dans cette situation de détresse. Ce, au lendemain du fameux ‘’coup fatal’’ qui a vu le président s’octroyer un troisième mandat.
Conséquence, les populations du gbekan djamana voient en rajouter à leurs souffrances, cette difficulté d’accès à l’eau potable avec à la clé, des femmes qui passent tous leurs temps à se déployer corps et âmes pour se procurer de ce précieux sésame au niveau de quelques rares points d’eau à travers la ville.
Même s’il n’y a aucune communication officielle autour, des indiscrétions expliquent cette situation par un manque d’argent dans les caisses de l’Etat.
Pendant ce temps, de hauts dignitaires du régime continuent à se taper de gigantesques villas au vu et sus de tous.
Il n’y a pas de carburant pour faire tourner les groupes de la SEG nous dit-on, mais de hauts dignitaires célèbrent à coût de milliards de francs guinéens des mariages et anniversaire de leurs enfants comme s’ils sont les plus bénis du pays.
Tant pis donc pour le bas peuple, car tous ces hauts dignitaires disposent à leurs domiciles, des forages connectés aux panneaux solaires ou à des groupes électrogènes qui offrent de l’eau potable à leurs familles 24 heures sur 24.
Loin d’apparaître comme l’oiseau de mauvais augure, la pénurie d’eau pour la population de Kankan risque bien de perdurer car le gouvernement caché dans un mutisme total, n’a visiblement aucune solution pour trouver la dotation mensuelle de 20 000 litres de gasoil afin d’offrir à la population de Kankan, cette ressource vitale qu’est l’eau.
Dans une posture de fatalisme, la population qui n’a que ses yeux pour pleurer, est contrainte de continuer à se résigner et à accepter d’être privé de l’un de ses droits les plus absolu qui est la fourniture d’eau potable en tout lieu et en toute circonstance.
C’est pour dire donc qu’avec le slogan ‘’gouverné autrement’’, les populations de la capitale de la savane devraient apprendre ‘’à vivre autrement’’ avec ou sans eau potable dans leurs robinets.