En partenariat avec l’Unesco, Conakry a été désignée « Capitale mondiale du livre en 2017. » Une année qui a été particulièrement marquée par la promotion du livre et de la lecture. Deux ans après ce plus grand rendez-vous littéraire du monde, la capitale guinéenne poursuit son action en faveur du livre, de la lecture et de l’ouverture de l’écriture à tous.
C’est dans cette dynamique que Guinée Culture, branche associative de l’Harmattan Guinée, a offert une borne de lecture ce mercredi 4 décembre à la Maison commune des agences des Nations Unies, à Conakry. Il s’agit d’une machine qui imprime de courtes histoires, oscillant entre une et 5 minutes. L’idée est développée depuis 2017 par le Commissariat général de Conakry, capitale mondiale du livre et son partenaire, l’Unesco, pour amener les uns et les autres à l’amour de la lecture.
Conakry la littéraire a le plaisir de vous offrir un instant de lecture, a réitéré l’engagement des Nations Unies à soutenir la Guinée.
L’histoire de cette machine, c’est l’année du livre. Nous avons imaginé avec le partenaire qui est l’Unesco, qu’on pouvait distribuer des petites histoires pour amener les uns et les autres à l’amour de la lecture.
En recevant ladite borne de lecture, le représentant résident du PNUD en Guinée, M. Luc Grégoire s’est dit honoré par l’acte qui offre l’occasion de se mettre en valeur à travers la lecture, avant de prier pour que son institution ait une longue histoire de partenariat et d’échanges avec la Guinée et la structure donatrice.
Pour sa part, directeur régional de l’Unesco, M. Ido Yao, après avoir remercié l’Harmattan Guinée pour ses efforts à promouvoir la lecture et l’écriture, a réitéré l’engagement de toujours être aux côtés de la Guinée pour réussir ce combat d’une extrême noblesse.
Présente à la cérémonie, la deuxième dauphine de Miss Guinée, Mlle Saran Bah, a déclaré apprécier énormément la démarche et encourager cette initiative afin qu’on ait plus d’écoles, plus de points de lecture et plus de livres disponibles pour la jeunesse guinéenne. « Parce que pour moi, l’éducation est à la base de tout. Et donc, on en a amplement besoin », a-t-elle justifié.