La parution du livre Africains de Carla-Bayle (Editions Amalthée) de l’écrivain guinéen, bien connu des amoureux de littérature francophone grâce, entre autres, à l ‘émission Papier, Plume, Parole, qu ‘il a animé pendant 36 ans, à la télévision guinéenne.
L’auteur et journaliste, Mohamed Salifou Keita, brosse l’histoire d’un officier guinéen basé à Montauban alors que la Seconde Guerre mondiale est à son paroxysme. Un roman historique puissant qui possède une rigueur singulière, un narratif bien mené qui permet au lecteur de se plonger pleinement dans cette histoire, amène les plus grands auteurs de la littérature africaine d’expression Française, comme Alioum Fantouré Grand Prix de la littérature d’Afrique noire, avec son roman, le Cercle des Tropiques, Editions : Présence africaine. Paris 1972, de se prononcer sur ce livre d’une certaine poésie puissante au style attractif et prenant.
Précurseur de l ‘émergence du concept des guides providentiels en Afrique, notion suivie par la quasi-totalité des auteurs francophones qui viendront après 1972, citons entre autres Tierno Monénembo, les feux William Sassine, Sony Labou Tansi, Henri Lopes … Alioum Fantouré, est un auteur discret. Il n ‘écrit presque pas sur les autres auteurs. Mais, fait exceptionnel, il est sorti de sa réserve pour saluer ce « roman Historique… »
Un héritage du monde noir et de l’humanité.
Le beau Récit des Africains de Carla-Bayle de l’écrivain Mohamed Salifou Keîta, est un récit qui laisse une marque concernant la réalité de la Deuxième Guerre mondiale quelque part en Europe…
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Ici, se marque aussi, ce que fut la résistance contre la folie destructive de ceux qui assassinent les humains et détruisent ce monde.
Au demeurant, c’est un grand succès pour cette œuvre qui fait honneur à notre continent : Liberté et Paix en ce monde en souvenir de ce qui fut en ce temps de la Deuxième mondiale…
De telles œuvres valent la peine d’exister comme symbole de la résistance de l’homme contre la folie destructrice des ennemis de la liberté.
Dans ce roman, domine la résistance humaine face à la violence inhumaine de ceux qui se croient être les maîtres de ce monde…
Ce roman accroche bien le lecteur. N’oubliez pas ! Ce qu’écrit un écrivain est aussi un héritage du monde noir et de l’humanité.
Rien n’est négligeable pour le lecteur. Ce qui en est dans ce cas.
Une correspondance spéciale de Mohamed Alioum Fantouré, écrivain guinéen résidant en France
