
Pour la représentante des femmes, cette rencontre a une importance capitale pour nous les femmes et les pauvres : « nous demandons aux bouchers de comprendre la situation, les femmes souffrent et les mariés aussi ne travaillent pas. Quand on va au marché, tu ne trouves pas les poissons, tu t’orientes vers la boucherie et si là-bas aussi tu trouves que c’est pire, là on ne sait pas où donner la tête. Les bœufs qu’on vend ici ne sont pas importés, ainsi nous demandons aux autorités de nous aider auprès des sociétés de pêche chinoises de réduire le prix du poisson, parce qu’on ne voit plus les poissons au marché », a-t-elle plaidé.


