Le président de l’Union des forces républicaines (UFR) a réagi aussi à la violente répression dont les journalistes ont fait l’objet ce lundi 16 octobre, pendant qu’ils organisaient une marche pacifique pour dénoncer des restrictions subies par des sites d’informationd Guinéematin. com, Depecheguinee.com et inquisiteur.net. Dans une publication faite sur sa page Facebook, Sidya Touré revient sur les péripéties de la liberté de la presse avant de qualifier de recul le traitement réservé à la presse ce matin.
« Nous nous sommes battus en 2005 pour faire de la liberté de la presse une réalité en Guinée », rappelle-t-il. Et d’ajouter: « Il ne saurait avoir une véritable Démocratie sans une presse libre. »
C’est pourquoi, selon l’ancien premier ministre et membre du FNDC politique, « la violence proférée, ce lundi, contre des journalistes suivie de l’arrestation de 14 d’entre eux, est un recul. »
Une position qui s’ajoute à celles exprimées par des personnalités publiques et autres anonymes.