L’assemblée générale hebdomadaire de l’Union des Forces Démocratique de Guinée (UFDG ) s’est tenue ce samedi 29 avril 2023, à son siège, à la Minière, dans la commune de Ratoma.
À lire aussi
A l’entame du meeting, son vice-président, Kalémoudou Yanssané a souhaité une bonne fête de Ramadan aux militants du parti, avant de faire le point sur la suspension de la participation des forces vives de Guinée du dialogue politique inclusif.
Selon lui, cette suspension est due aux faits qu’aucun de leurs préalables n’a été satisfait. Lisez ce qu’il a déclaré à propos :
» Si vous vous rappelez bien, les Force Vives ont reporté à plusieurs reprises leurs manifestations, à la demande des sages et religieux de Guinée. Ils nous nous sommes dit de leur faire confiance et qu’ils allaient mettre à profit le mois saint du Ramadan pour tenter de rapprocher les positions entre Forces vives et les autorités actuelles du pays.
Malheureusement, cela n’a pas été fait. Nous avons eu cinq rencontres et pendant toutes ces rencontres, aucun de nos préalables n’a été respecté.
S’il a été déclaré que les lignes bougent, c’est peut-être vrai, mais nous les partis politiques et société civile, nous n’avons rien vu de ce mouvement.
Malgré notre bonne foi, nous avons donc décidé à l’unanimité, de suspendre notre participations du dialogue qui se tenait au centre Islamique de Donka. Pour la simple raison qu’aucune de nos revendications n’a été satisfaite.
Mais sachez qu’on n’a pas encore dit notre dernier mot.Ceci est juste une suspension. Nous allons nous écouter, discuter, écouter nos bases. Les leaders vont se retrouver, ils vont nous donner les directives qu’il faut pour faire face à cette situation. Entre-temps, nous continuions à demander le dialogue, à prôner la paix, la concorde. Mais nous n’accepterons pas ce qui n’est pas acceptable. Nous sommes en régime de transition, donc tout ce qui se fait, doit se faire sous le coup de la concertation, de l’entente et du dialogue.
Donc, on attend les mots d’ordre des décideurs des six coalitions qui composent les forces vives. Nous espérons fortement que les uns et les autres reviendrons à de meilleurs sentiments pour la paix en Guinée et le bonheur des Guinéens » a-t-il déclaré en substance.
Selon lui, cette suspension est due aux faits qu’aucun de leurs préalables n’a été satisfait. Lisez ce qu’il a déclaré à propos :
» Si vous vous rappelez bien, les Force Vives ont reporté à plusieurs reprises leurs manifestations, à la demande des sages et religieux de Guinée. Ils nous nous sommes dit de leur faire confiance et qu’ils allaient mettre à profit le mois saint du Ramadan pour tenter de rapprocher les positions entre Forces vives et les autorités actuelles du pays.
Malheureusement, cela n’a pas été fait. Nous avons eu cinq rencontres et pendant toutes ces rencontres, aucun de nos préalables n’a été respecté.
S’il a été déclaré que les lignes bougent, c’est peut-être vrai, mais nous les partis politiques et société civile, nous n’avons rien vu de ce mouvement.
Malgré notre bonne foi, nous avons donc décidé à l’unanimité, de suspendre notre participations du dialogue qui se tenait au centre Islamique de Donka. Pour la simple raison qu’aucune de nos revendications n’a été satisfaite.
Mais sachez qu’on n’a pas encore dit notre dernier mot.Ceci est juste une suspension. Nous allons nous écouter, discuter, écouter nos bases. Les leaders vont se retrouver, ils vont nous donner les directives qu’il faut pour faire face à cette situation. Entre-temps, nous continuions à demander le dialogue, à prôner la paix, la concorde. Mais nous n’accepterons pas ce qui n’est pas acceptable. Nous sommes en régime de transition, donc tout ce qui se fait, doit se faire sous le coup de la concertation, de l’entente et du dialogue.
Donc, on attend les mots d’ordre des décideurs des six coalitions qui composent les forces vives. Nous espérons fortement que les uns et les autres reviendrons à de meilleurs sentiments pour la paix en Guinée et le bonheur des Guinéens » a-t-il déclaré en substance.