Cette image est si inimaginable que nous ne pouvons rien en dire ou presque. Elle est tellement incroyable, incongrue, inhabituelle que nous n’en finirons pas d’énumérer les synonymes qui la caractérisent. Tellement, malgré leur infinité, ils sont insuffisants à décrire ce qu’elle traduit ou incarne à nos yeux. Quand une lectrice nous l’a fait parvenir, nous avons d’abord pensé à du pipeau, à une grossière mise en scène. Elle nous a répondu, ne rien en savoir. Elle précise que l’image a été prise sur le vif. Pas à la gare routière, mais dans la circulation. Malgré tout, la théâtralité de la scène est très marquée pour nous convaincre de son naturel. A chacun d’en juger et de se faire l’opinion qui lui semble la meilleure. C’est comme du No comment !
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Voir un gaillard allongé sur le dos, dans le coffre d’un taxi, plein de colis divers. Un trop-plein qui se remarque à la bouilloire et au baluchon accrochés au flanc du coffre ! Nous imaginons la position ‘’couché sur le dos’’ du ‘’passager-bagage’’, à la vue de sa main droite qui ressort sur le côté gauche de la malle arrière. Ce qui nous intrigue, ce sont les cordes qui lui passent autour des jambes. Il est littéralement attaché avec des cordes qui maintiennent le coffre, hermétiquement fermé. Pourquoi et comment tout ça ? Où cela se passe-t-il ? Qui se permet un tel comportement? S’agit-il d’un aliéné ou d’un malfaiteur qu’on maintient de force ? Serait-ce par manque total d’occasion ? Une probabilité à exclure. N’y a-t-il pas de risque encouru, sur le plan sanitaire, par ce passager, vu sa position incommode de supplicié ? En cas de besoin naturel à satisfaire, comment cela va-t-il se passer ? Cette situation, a-t-elle continué jusqu’à la destination finale ? A-t-elle été interrompue en chemin, par la police ou la gendarmerie ? Autant de questions qu’on se pose, face à une telle situation.
