
Le 6 juin dernier, en visite à la Maison centrale de Conakry, Charles Wright avait qualifié la fuite d’Ibrahim d’extirpation et non d’évasion et avait promis que les services de sécurité mettraient la main sur lui. Le personnel médical avait même été sanctionné pour cette évasion. Ce mercredi, il a salué la collaboration entre la Guinée et ses pays voisins qui a conduit à l’arrestation de cet homme poursuivi par la justice guinéenne pour faux et usage de faux en écriture publique et recherché par la justice française pour assassinat.
Correspondant à Conakry, Guinée