Les débats auront duré près de trois heures. Après le tribunal a renvoyé l’affaire au 11 janvier pour sa décision. On retiendra qu’Abdourahmane Sanoh a plaidé non coupable. Mais le représentant du ministère reste convaincu qu’il a participé à une réunion non déclarée. Pour la répression, il a requis sa condamnation à 18 mois de prison assortis de sursis. Mais la défense, elle, estime que l’infraction est forgée par le procureur et a demandé que son client soit renvoyé des fins de la poursuite pour délit non constitué.
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Abdourahmane Sano, qui n’est pas en prison, est donc reparti chez lui pour revenir mercredi.