Contrairement à l’opération de vote tenue le samedi 15 décembre 2018 sous le nez et la barbe des hommes de médias, le scrutin de ce jeudi 7 février se tient loin du regard des journalistes.
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Telles des personnes atteintes d’Ebola, ces derniers sont éloignés de l’opération de vote et se trouvent regroupés derrière la cour qui abrite la consultation, en attendant le verdict des urnes.
Au lendemain du vote du 15 décembre 2018 que les médias avaient suffisamment relayé, des voix se sont élevées au sein du parti au pouvoir pour accuser à tort que les journalistes ont été corrompus par le camp d’en face, Ufdg.