Ce mardi 8 mars 2022 marque la Journée internationale des droits de la Femme. Une commémoration que les responsables Groupe Bolloré ont mise à profit pour offrir un important lot de kits pour nourrissons dans trois centres médicaux communaux de Conakry.
C’est le CMC de Coléah qui a constitué la première étape de remise du don, en présence des autorités de cette structure sanitaire. Là, Mme. Yakha Koumbassa fait partie des heureuses bénéficiaires du geste combien symbolique du Groupe Bolloré.
Au micro de Guinéenews, elle a salué l’idée qui a prévalu à l’initiation de ce projet qui, à l’endroit croire, l’enchante à plus d’un titre. « Ce don vient à point nommé, parce que je manquais de ces kits. Et voilà que Dieu a orienté ces bonnes volontés vers moi, je dirai vers mon bébé, pour lui offrir ce dont elle avait besoin et incessamment. Je remercie ces donateurs et prie pour le rayonnement du Groupe Bolloré auquel ils appartiennent », a-t-elle formulé.
Même sentiment de joie doublé de gratitude chez Mme Saran Keita et Mme Victoria Camara rencontrées respectivement au Centre médical communal de Matam et au Centre médical communal de la Minière. A tour de rôle, elles ont formulé le souhait de voir d’autres sociétés ou entreprises de la place s’inscrire dans la même logique que le Groupe Bolloré pour le bonheur des bébés et de leurs mamans.
Les kits offerts sont composés de couches Pampers, de bidons d’eau de javel, de cartons cartons de savon et de serviettes. Une action humanitaire que le Directeur Régional de Bolloré en Guinée, en Soerra Leone et au Libéria s’est abstenu d’évaluer en termes de valeur marchande.
Pour Capt. Fabjanko Kokan, il s’agit là de quelque chose qui interpelle tout le monde. « Ce n’est pas une affaire d’argent. C’est une affaire de l’humanité. L’équipe de Bolloré a réalisé pas mal de choses. Et on va continuer à le faire. Et d’ailleurs, il y a une grande surprise qui est prévue en faveur de la communauté, notamment des enfants. Car, ce sont les femmes qui changent le monde. Et si les hommes veulent changer le monde, ils doivent s’appuyer sur les femmes », a enseigné le Représentant-pays du Groupe Bolloré.
Et de conclure : « Pour moi, ce n’est pas l’argent qui compte. C’est plutôt la contribution à faire pour rendre joyeuses toutes ces jeunes mamans. Parce que quand vous êtes dans le désert de Kalahari et que vous offriez une bouteille d’eau à quelqu’un, ce ne sont pas les 30 centilitres qui comptent, mais l’acte. Alors, pour nous, sauver une femme ou un bébé n’a pas de prix ».