Après plus de 20 ans au pouvoir, Bachar al-Assad a été chassé de la Syrie par un groupe de rebelles. Cette annonce vient bouleverser l’équilibre du Moyen-Orient et représente un moment clé pour ce pays en guerre depuis 2011.
Sous pression depuis des mois, Assad a fini par céder. De grandes manifestations ont eu lieu à Damas et dans d’autres villes, poussées par une grave crise économique et le ras-le-bol des Syriens, face aux sanctions internationales. En plus, la Russie, principal soutien du régime, aurait négocié en secret son départ. D’après des diplomates, Moscou aurait proposé à Assad un exil sécurisé s’il démissionnait.
Une période incertaine
Le départ d’Assad ouvre une nouvelle page pour la Syrie, mais personne ne sait ce qui va se passer. Certains espèrent une transition vers la paix et la démocratie, mais d’autres craignent des conflits entre les rebelles, les Kurdes et les anciens soutiens du régime.
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La reconstruction du pays sera très difficile. Les infrastructures sont détruites, et la société est divisée. La Syrie aura besoin d’une grande aide internationale, financière et politique, pour se relever.
Un moment historique
La fin du pouvoir de Bachar al-Assad symbolise la lutte d’un peuple contre l’autoritarisme. Mais le chemin vers la paix et la démocratie en Syrie sera long et difficile.
Guineenews avec médias
