Nous vous invitons dans cet article, à un exercice d’identification qui peut ressembler, un tantinet, au célèbre ‘’Jeu des 7 erreurs’’ ou à celui de ‘’Question pour un champion’’. Sans doute, une grande prétention, allez-vous dire. Mais, qu’à cela ne tienne !
Le sujet abordé pourrait même ressembler, à s’y méprendre, à une épreuve de détective chargé d’identifier un véhicule qui passe, avec une plaque d’immatriculation voilée par la boue qui la recouvre. Du jeu à la réalité, il n’y a qu’un pas, que nous vous invitons à franchir.
Supposons un seul instant, que le conducteur de ce véhicule dont on ne voit que l’arrière, comme ici à l’image, soit en train de commettre un délit de fuite, après une quelconque forfaiture. Serions-nous capable de l’identifier, alors qu’il s’en va et que la boue recouvre sa malle arrière et rend opaque sa plaque minéralogique ? Tentons l’expérience, avec les deux images que nous vous proposons là !
Notons bien que ce sujet s’inspire d’un cas absolument fortuit, mais qui reste cependant, tout à fait envisageable. En effet, il n’est pas exclu qu’il se présente un jour ou l’autre, de façon impromptue dans la circulation. Autant donc nous préparer à réagir comme il faut, au cas où. On ne nous demande pas de nous substituer aux policiers, mais de rester vigilant où que nous soyons dans la circulation, parce que tout peut arriver, partout et à chaque instant .
Une telle situation, assez insolite, il est vrai, n’est pas retenue comme infraction au code de la route. Pour autant, elle n’est ni encouragée, ni même souhaitée. En cas de nécessité urgente par exemple, elle compromet l’identification rapide d’un véhicule qui passe. Cela se voit bien en rase campagne, avec les véhicules de transport en commun, notamment. La gendarmerie routière signale des cas de barbouillage volontaire de la plaque d’immatriculation et du numéro de portière des véhicules qui font le transport interurbain. Cette pratique s’observe pendant la saison des pluies. Elle est le fait de chauffeurs adeptes du refus d’obtempérer, qui choisissent de narguer les agents plutôt que de s’arrêter à leurs sommations.
Même si on ne peut pas faire cesser tous ces comportements d’un coup, on peut néanmoins, recommander que les véhicules soient tenus, toujours propres.
Terminons par dire que le premier à lire la plaque minéralogique de ce véhicule, aura prouvé sa parfaite acuité visuelle, et surtout sera sacré fin limier !
A vos binocles donc, s’il vous plaît !