L’Association des écrivains de Guinée (AEG) a été reçue ce lundi 4 janvier 2020 par le bureau de l’Assemblée nationale pour échanger sur la promotion de la lecture dans le pays. Au sortir de cette rencontre, Facely 2 Mara, président de l’Association des écrivains de Guinée, est revenu sur les sujets débattus par la représentation nationale : « Nous avons été très heureux d’être reçus par le président de la l’Assemblée nationale et ses collaborateurs. On examine avec l’Assemblée, avec les possibilités de sa participation à la promotion de la triade écrivain, livre et lecture dans notre pays. Nous avons ensemble examiné les méthodes, les voies et moyens susceptibles d’être développés pour aboutir à cette merveilleuse promotion. Nous avons soumis dans ce sens notre plan d’action opérationnel triennal avec ces éléments de continu. Le président [DE L’Assemblée nationale] et ses collaborateurs ont très bien accueilli ce plan et ont promis de tout faire pour que le plan devienne opérationnel. »
Quant à la vice-présidente du Parlement, Dr Zalikatou Diallo, a fait savoir que le président de l’institution, Amadou Damaro Camara a fait cas de certaines de ses préoccupations : « L’association des écrivains de Guinée, c’est une élite pas des moindres. Ils nous ont présenté le plan d’action opérationnel qui suivra un partenariat stratégique avec l’Assemblée nationale pour promouvoir l’écriture et le livre. Ce qui est très important. Le président de l’Assemblée nationale n’a pas manqué de porter à leur connaissance certaines préoccupations qui menacent même le fondement de nation qui doivent être rectifiées. Il a invité tout un chacun à ne rien ménager pour rectifier le tir pour le bien de notre nation. Il a promis fermement de s’impliquer et d’informer l’ensemble du bureau et les députés des décisions qui seront prises pour un partenariat fécond avec cette association des écrivains de Guinée. Il a aussi recommandé vivement que les écrivains de Guinée s’intéressent à l’histoire récente du pays. Ceci est très important parce que la jeunesse ignore beaucoup de ce qui s’est passé même dans un passé récent. C’est très important, car cela peut nous permettre de corriger beaucoup de manquements et vraiment construire une République solide et émergente. »