
En somme, la privation de ces différents groupes de médias d’information de leurs licences d’exploitation par la junte guinéenne est une mesure autoritaire et répressive qui menace gravement la liberté de la presse, les droits des citoyens et la démocratie en Guinée. Elle doit être condamnée sans réserve par tous ceux qui sont attachés aux principes de liberté et de justice. Il est impératif que la communauté nationale et internationale se mobilise pour défendre ces valeurs et exiger le rétablissement immédiat des médias injustement dissous.


