
Selon Me Mohamed Traoré, dans un premier temps, M. Sanoh a été poursuivi pour participation délictueuse à une réunion publique. Une infraction qui n’existe pas dans le code pénal guinéen, dit-il. À l’audience, poursuit-il, « nous avons pris connaissance d’une autre qualification, participation à une réunion non déclarée dont le ministère public a été incapable d’apporter la preuve de l’existence de cette infraction ».