En marge de la troisiĂšme Ă©dition de la ConfĂ©rence Panafricaine de lâAgence Universitaire de la Francophonie (AUF) Ă Banjul, le Ministre de lâEnseignement supĂ©rieur, de la Recherche Scientifique et de lâInnovation, Monsieur Alpha Bacar Barry, a co-animĂ© un panel de haut niveau aux cĂŽtĂ©s de son homologue de la Gambie, le đđ« đđąđđ«đ«đ đđšđŠđđł, et de la SecrĂ©taire dâĂtat Ă lâEnseignement SupĂ©rieur du Cap-Vert, le đđ« đđźđ«đąđđąđđ đđšđ§đđđąđ«đš. Ce panel avait pour thĂšme đ„’đÌđđđ đđđŹ đ„đąđđźđ± đđ đ„đ đ©đźđđ„đąđđđđąđšđ§ đŹđđąđđ§đđąđđąđȘđźđ đđ§ đđđ«đąđȘđźđ.
Au cours de cette session, Monsieur le đđąđ§đąđŹđđ«đ đđ„đ©đĄđ đđđđđ« đđđ«đ«đČ a saisi l’opportunitĂ© pour prĂ©senter les initiatives et les politiques mises en Ćuvre par la GuinĂ©e en vue de promouvoir la publicisation scientifique et d’encourager la mobilitĂ© acadĂ©mique. Il a mis en avant les efforts dĂ©ployĂ©s par son pays pour soutenir la recherche et favoriser l’accĂšs Ă la connaissance, notamment Ă travers des programmes de financement et de partenariats internationaux.
Les échanges qui ont suivi ont été particuliÚrement fructueux, permettant non seulement de mettre en lumiÚre les bonnes pratiques de chaque pays représenté, mais aussi de favoriser le dialogue et les collaborations au sein de la communauté universitaire francophone en Afrique. Ces discussions ont également mis en évidence les défis persistants auxquels sont confrontés les chercheurs et les universitaires sur le continent, tels que le manque de financement, les infrastructures inadaptées, ou encore les barriÚres linguistiques.