La capitale de la plus grande région du pays semble écrire une triste nouvelle page de son histoire en ce début d’année. Deux jeunes footballeurs ont succombé de leur blessure intentionnellement provoquées au terrain, a-t-on appris.
En effet, si le football est considéré comme un sport qui unit toutes les sensibilités sociales, tel n’est plus le cas dans la capitale de la Guinée forestière. Car le dernier cas en date est celui de Djouldé Barry, un jeune élève de la 12 année, qui à trouve la mort dans la soirée de ce dimanche.
Interrogé par notre rédaction, Boubacar Barry, frère de la victime précise: « mon jeune frère était parti joué au terrain mais après le match, il y a eu des jets de pierres. Et c’est là il à reçu un cailloux au niveau de sa nuque. Du coup, ces amis l’ont envoyé à l’hôpital. Il saignait beaucoup. C’est ainsi qu’il a rendu l’âme aux soins intensifs ce soir. C’est avec une grande peine, je vis cette période de deuil »
Pour le second cas, c’est aussi un jeune qui a succombé la journée par suite de poignard, intervenu après un autre match. « C’est après notre victoire, que la bagarre à éclaté. C’est ainsi qu’on a vu notre ami a été poignardé. Avant qu’on l’envoie à l’hôpital. Il a beaucoup saigné c’est comme ça que Aliou nous a quitté », dira Maurice.
A noter que si l’enterrement du premier cas est prévu à Dinguiraye sa ville d’origine, quant au second, il a été enterré à N’Zérékoré.
La paix étant très fragile dans la cité, il est plus que nécessaire que les autorités en charge des activités de jeunesse et de football, engagent des actions de réglementation avant que trop tard ne joue son rôle.