Cette inondation serait due à l’obstruction du passage de l’eau au niveau du pont où le trou béant avait coupé la route nationale No2 l’année dernière.
Pour ce responsable qui a voulu garder l’anonymat : « après les inondations de 2008, tous les occupants des lieux à haut risque avaient été recasés par l’État. Mais ils ont préféré revendre là-bas et revenir s’installer toujours dans les bas-fonds. Pour le moment, la Croix-Rouge et la Direction Préfectorale de l’Action Humanitaire s’activent pour recenser tous les sinistrés. »