La Guinée, un pays de paradoxe, d’invraisemblance et de contresens. Un pays dans lequel il est difficile parfois impossible d’entreprendre sans s’attirer la haine et la rancoeur d’une certaine catégorie de personnes. Depuis son indépendance, beaucoup d’hommes d’affaires prospères, ingénieux, éclairés et compétents ont été broyés, détruits à cause de ce qu’ils sont sans que cela n’émeute personne. Au contraire, nombreux sont ceux qui se réjouissent et célèbrent le malheur, l’échec ou la misère de l’autre. Sans citer de noms, inutile de rappeler qu’ils sont nombreux ceux qui ont fait fortune dans les affaires en Guinée ces dernières années mais qui, au final, ont eu toutes les peines du monde à se maintenir où à faire prospérer leurs affaires du fait de l’adversité ou de l’hostilité dont ils font face au quotidien.
Le dernier homme d’affaires a être pris pour cible par ces individus malintentionnés, n’est autre que le PDG du Groupe Business Marketing, Antonio Souaré, un homme qui est dans les affaires depuis plusieurs décennies et qui a roulé sa bosse dans beaucoup de pays africains, asiatiques, européens et américains avant de se fixer finalement en Guinée.
Dans un long article que son auteur a qualifié d’enquête sans vraiment l’être et dont le contenu n’est qu’un tissu de mensonges, publié dans ce qu’on appelle « hebdomadaire » guinéen mais qui ne peut servir qu’à envelopper du pain acheté dans un coin de rue, le nom de l’un des plus grands employeurs dans le secteur privé guinéen si ce n’est le plus grand, est associé à celui d’un homme d’affaires français qui est actuellement dans la tourmente judiciaire dans son pays. Une comparaison farfelue entre deux hommes que tout oppose.
Sans citer de source, ni interroger personne, encore moins présenter une preuve de ce qu’il avance, un mercenaire de la plume irresponsable, bricoleur s’est inventé des affabulations grotesques pour nuire, calomnier, diffamer et dénigrer le patron de GBM, un groupe qui contribue à la création des milliers d’emplois directs et indirects aussi bien à Conakry qu’à l’intérieur du pays. Un Groupe qui participe à côté de l’État à la résorption du chômage des jeunes diplômés sortis dans les différentes écoles du pays. Par contre, l’auteur n’assume nullement ses propos. Lâche qu’il est, il a choisi de se cacher derrière un pseudonyme pour signer son charabia commandité par des individus tapis dans l’ombre dont l’ultime voeux serait de voir l’homme d’affaires mettre la clé sous le paillasson et de disparaitre. Des individus qui n’ont ni courage encore moins d’audace d’agir à visage découvert. En gros, il reproche à Antonio Souaré le fait que ce dernier développe, diversifie et accroit ses activités. Pis, il trouve que le patron de GBM n’a droit à rien en Guinée et qu’il doit dégager le plancher pour laisser la place aux autres. Comme le ridicule ne tue pas.
L’auteue du torchon a fait cas du stade de Nongo que l’État a été incapable d’achever pendant toutes ces années. Un stade qui devrait être inauguré normalement en 2009 après le lancement des travaux de construction en 2007 par le Premier ministre d’alors, Lansana Kouyaté. Doit-on blâmer Antonio Souaré parce qu’il a décidé de mettre son argent pour rendre le stade de Nongo opérationnel sur la base d’un contrat dument signé avec les services compétents de l’État guinéen ? À chacun son appréciation. Le reste des autres élucubrations de ce gâte-papier ne mérite aucune attention.
Au lieu de chercher à descendre le patron de GBM ou à le présenter comme une menace pour le président Alpha Condé avec qui il est en contact régulier, l’on devrait se réjouir d’avoir un homme d’affaires de sa trempe en Guinée. Contrairement aux autres opérateurs économiques, Antonio Souaré est celui qui redistribue et réinvestit plus que quiconque les gains que le Groupe Business Marketing lui rapporte. Dans le football, il engloutit des sommes énormes pour développer cette discipline afin de permettre à des milliers de jeunes guinéens et africains de vivre leur rêve. Antonio Souaré, c’est aussi un groupe de presse qui emploie des Guinéens, des Sénégalais et des Rwandais sans compter que plusieurs petits entrepreneurs de la place prospèrent grâce à Antonio Souaré, un homme dont les seuls critères de collaboration restent la rigueur et la compétence dans le travail.