En ce dimanche 28 décembre 2025, jour du scrutin présidentiel, un souffle solennel traverse la commune urbaine de Boffa. Dès les premières lueurs de l’aube, les citoyens ont convergé vers les urnes pour sceller l’avenir de la nation. L’ambiance est à la fois électrique et disciplinée : de Almamya à Bolondé, en passant par le terrain de basket et le centre névralgique de Tordoya, de longues files d’attente serpentent devant les bureaux de vote.
Cette affluence remarquable témoigne d’un engagement civique vibrant. Sous un soleil de plomb, l’attente est patiente, rythmée par le murmure des discussions et l’espoir d’un renouveau.
Pour garantir la sérénité du scrutin, un dispositif sécuritaire d’envergure a été déployé : l’armée, la gendarmerie et la police veillent de concert, formant un rempart invisible mais rassurant autour du processus électoral.
Malgré la tension inhérente à toute élection présidentielle, le calme règne en maître. Aucun incident majeur ne vient pour l’instant entacher cette célébration de la souveraineté populaire. Boffa vote dans la dignité, consciente que chaque bulletin glissé dans l’urne est une pierre ajoutée à l’édifice démocratique.
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