L’événement premier du genre a réuni des représentants du Ministère de la Culture, du Ministère de l’Enseignement supérieur, des responsables de l’ISAMK, artistes et amateurs.

« L’art est un langage universel. Il permet aux peuples de se comprendre au-delà des distances, des langues et des différences », a-t-il déclaré, rappelant que la coopération culturelle entre les deux pays s’inscrit dans le cadre de la signature, en 2023, d’un Mémorandum d’entente entre les ministères de la Culture russe et guinéen, précisant que plusieurs projets concrets sont désormais en cours.
« À travers l’eau et la couleur, l’aquarelle devient un véritable pont artistique entre la Russie et la Guinée. Deux sensibilités, deux cultures, mais un même langage visuel. »
Au nom des artistes, Mohamed Aly Diallo, représentant de l’association artistique Guin’art, a mis en avant la diversité et la richesse des talents exposés, soulignant que l’art constitue un puissant vecteur de sens et de dialogue entre les peuples.
«Donc merci aux initiateurs et merci au professeur qui est venu nous apprendre une autre technique de l’aquarelle. C’est vrai, nous sommes habitués à travailler en horizontal, mais il nous a montré une autre technique. c’est un processus continu à travers lequel on apprend toute sa vie pour celui qui veut progresser.
Et donc, nous allons progresser à travers ce que nous avons appris» a-t-il lancé.
À travers « Aquarelles en dialogue : Russie – Guinée », la Russie et la Guinée confirment leur volonté de renforcer les partenariats culturels, en misant sur la formation, la création et la circulation des œuvres. Une coopération qui, par la couleur et l’eau, esquisse de nouvelles perspectives communes.

