Mamou : le FDSI prend en charge 37 nouveaux indigents et renforce sa politique sociale

Le Fonds de Développement Social et de l’Indigence (FDSI) a remis ce mercredi des titres de prise en charge sanitaire à 37 malades indigents de la région de Mamou, portant à 137 le nombre total de bénéficiaires enregistrés cette année. Une démarche qui, selon les observateurs locaux, confirme encore une fois la montée en puissance de la politique sociale engagée ces dernières années.

Cette opération s’inscrit dans la vaste campagne nationale de prise en charge sociale lancée à Kindia, appelée à s’étendre progressivement à toutes les régions du pays. Les Directeur Général du FDSI rappelle que cette approche territoriale découle de la dynamique impulsée depuis l’avènement du Président Mamadi Doumbouya au pouvoir, une dynamique qui vise à rendre chaque action publique accessible, équitable et visible jusqu’au dernier village, selon ses propos.

La cérémonie, présidée par les autorités locales dont le Gouverneur Colonel Robert Soumah, a permis de rappeler les enjeux liés à la santé publique et à la protection des ménages vulnérables. Le Directeur général du FDSI, Lansana Diawara, a souligné la volonté de l’institution de « rendre l’État présent partout où il était absent », ajoutant que cette mission répond à l’orientation donnée par le Chef de l’État : renforcer la solidarité nationale et assurer que nul ne soit laissé au bord du chemin.

Le dispositif bénéficie de l’appui technique du Ministère de la Promotion Féminine, de l’Enfance et des Personnes Vulnérables, dirigé par Mme Charlotte Daffé, dont l’engagement en faveur des femmes, des enfants et des personnes handicapées est régulièrement salué. Ses services jouent un rôle essentiel dans l’identification, le suivi et l’accompagnement des bénéficiaires.

Pour les autorités locales, cette action représente « une nouvelle preuve que la politique sociale du Président Mamadi Doumbouya ne se limite pas aux engagements, mais se traduit par des actes concrets sur le terrain ». À Mamou, beaucoup voient dans cette initiative un signe de continuité d’un État qui affirme progressivement son rôle protecteur auprès des catégories les plus fragiles.