Dans l’écrin vibrant de l’Institut français d’Abidjan, la République de Guinée a fait bien plus que se présenter : elle s’est racontée, elle s’est chantée, elle s’est dansée.

Le Commissaire général du FEMUA, Salif Traoré, »Asalfo », a salué l’engagement culturel d’une Guinée en pleine transformation, portée par une vision nationale ambitieuse. Il a rappelé que depuis le 5 septembre 2021, la culture y est érigée en levier de développement et de cohésion, comme en témoigne l’axe 2 du programme Simandou 2040. Une ambition saluée par le ministre guinéen de la Culture, Moussa Moïse Sylla, qui a exprimé son émotion face à l’accueil ivoirien et la nécessité de tisser davantage de ponts entre les peuples par la culture.
« Ce que vous avez vu ce soir, ce n’est qu’un fragment de notre âme. Mais c’est un fragment offert avec le cœur », a-t-il confié, visiblement touché.
En cette nuit mémorable, la Guinée n’a pas seulement illuminé Abidjan. Elle a touché les cœurs, rappelant à tous que l’Afrique, dans sa diversité, chante le même chant : celui de l’unité, de la mémoire et de l’espoir.
Depuis Abidjan, Mady Bangoura, envoyé spécial, pour Guinéenews

